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FAQ

Questions et réponses de la NPIS

Quelle est la valeur ajoutée du pour un professionnel de la ?

Des protocoles accessibles en consultation

  • Renforcement de la qualité et de la sécurité des pratiques existantes (formalisation, harmonisation, sécurisation…),
  • Intégration des codifiées aux logiciels métiers,
  • Documentation informatisée disponible à partir d’un ordinateur, d’une tablette ou d’un smartphone
  • Extension de la validation à l’ensemble des professionnels concernés sur le territoire,
  • Accessibilité rapide et facile au moment de décision à prendre pour la et le soin,
  • Simplicité de suivi et du processus évolutif des bonnes pratiques d’implémentation (identification des obstacles, leadership professionnel, mise à disposition de formations et d’aides pour leur mise en œuvre...).


Des moyens de maîtrise de la qualité et des écarts aux protocoles

  • Traçabilité par l’usage de protocoles à code unique,
  • Renforcement du lien soin / prendre soin,
  • Suivi d’indicateurs pertinents,
  • Outil de formation continue,
  • Actualisation régulière par les retours d’expériences.


Des moyens de valorisation

  • Réponse à un problème pluriprofessionnel identifié par une équipe d’une structure de d’un territoire,
  • Extension du rôle de certains professionnels, le plus souvent non-médecins,
  • de protocoles peu efficaces, dangereux et/ou coûteux.
  • Diminution des réunions mono ou pluriprofessionnelles à l’élaboration d’une,
  • Soutien à l’innovation et mise en confiance de professionnels expérimentant de nouvelles pratiques,
  • Valorisation financière et des ressources adaptées à l’usage.
     
Pourquoi un lien si direct entre, clinique et d’implémentation dans le ?
L’enchaînement entre études mécanistique, interventionnelle et d’implémentation constitue la colonne vertébrale du positionnement épistémologique du sur l’évaluation des. Cela ne signifie pas qu’une étude interventionnelle par exemple ne peut pas questionner des mécanismes biologiques ou des processus psychosociaux. Cette colonne vertébrale donne de la cohérence aux études et structure le processus de validation des pour une intégration dans un référentiel de pratiques normalisées.
Pourquoi cette innovation a démarré en France ?
Le s’inscrit dans la stratégie française 2023-2027 de recherche et d’innovation en mondiale. Cette stratégie compte répondre aux impératifs d’équité et de solidarité, s’engager davantage pour la des maladies et la et mieux prendre en compte les interdépendances entre changement climatique, protection des écosystèmes et (France Gouvernement, 2023). La France s’est d’ailleurs dotée d’une Agence de l’Innovation en et d’un plan d’investissement de 7,5 Mds € jusqu’en 2030 (Agence de l’Innovation en, 2021). L’Agence souhaite anticiper les impacts des innovations sur le système de et de soin, créer des coopérations entre acteurs publics et privés et identifier les priorités de recherche (Agence d’Innovation en, 2021). Ce développement s’appuie sur une institution centrale en France sur les questions de recherche et de, l’INSERM (2024). Le dont la création a été soutenue par un fond d’amorçage de recherche participative de l’INSERM facilite la mise à disposition effective et rapide des innovations en de la recherche fondamentale à la pratique. La stratégie décennale sur les soins d’accompagnement publiée en 2024 a amplifié encore la nécessité du standardisé des (France Gouvernement, 2024).
Pourquoi un modèle transdisciplinaire d’évaluation des ?
Il existait 46 modèles d’évaluation des dans la littérature scientifique en avril 2019 (Carbonnel et Ninot, 2019). Ils avaient été construits par des chercheurs pour des chercheurs, le plus souvent dans une logique mono-disciplinaire et rarement dans une approche centrée-patient. Ils engendraient une forte hétérogénéité des protocoles d’étude et de la manière de concevoir une (approche, méthode, technique ou matériel). Les résultats étaient épars, discutables, peu transférables, rarement reproductibles. Par conséquent, les pratiques étaient peu reconnues en dehors du contexte de l’étude (établissement et/ou praticien dépendance). S’en suivaient des doutes sur leur efficience (ex.,,, pertinence, utilité, coût), leur contenu (ex., hétérogénéité des doses, procédures, ingrédients, techniques, contextes, populations cibles), leur approbation (ex., comités d’éthique), leur diffusion (ex., avis contradictoires de reviewers), leur enseignement (ex., protocoles, bonnes pratiques) et leur reconnaissance (ex., autorisation, intégration dans les nomenclatures officielles, remboursement). S’en suivaient aussi des freins à l’investissement dans la recherche et dans l’innovation, à l’apport de connaissances consolidées, à la des pratiques et à la reconnaissance des professionnels. L’absence de modèle consensuel d’évaluation des laissait penser que chaque professionnel devait réinventer son programme à chaque nouveau patient devant tant de recommandations d’autorités, d’agences et de sociétés savantes trop larges ou trop contradictoires. Elle laissait aussi penser que seule la relation au patient comptait dans les effets induits sur la (Ninot, 2020). Elle laissait aussi la voie libre aux pratiques pseudoscientifiques, et plus largement, aux médecines parallèles avec toutes les dérives obscurantistes, sanitaires, sectaires, politiques et judiciaires que l’on connaît en France (Miviludes, 2022 ; CNOI, 2023 ; CNOM, 2023) et dans le monde (Ernst et Smith, 2018). Cette idée faisait d’ailleurs son chemin aux États-Unis dans le domaine de l’oncologie avec l’ambition de juxtaposer deux offres médicales, l’une fondée sur la science expérimentale quasi-exclusivement centrée sur la chirurgie, le, la radiothérapie et le, et l’autre dite « complémentaire, intégrative ou traditionnelle » fondée sur l’expérience individuelle, les opinions et les traditions (Mao et al., 2022). Cette deuxième offre s’octroyant l’exclusivité des domaines de la et du soin, le care de la personne face au cure de la maladie. Aussi, le a été co-construit avec l’idée que la science expérimentale pouvait prouver l’existence de protocoles de et de soin efficaces, sûrs et reproductibles. Ce travail a été soutenu par un fond d’amorçage à la recherche participative de l’INSERM. Il a réuni plus de 1000 personnes sous la direction d’un comité de 22 experts multidisciplinaires dont 2 représentants des usagers. Cette innovation transdisciplinaire est à ce jour soutenue par 30 sociétés savantes françaises, le Centre National des Soins Palliatifs et de la Fin de Vie, l’INCa et la Plateforme Française des Réseaux de Recherche Clinique.
Comment utiliser le en pratique ?
Un professionnel de la indépendant ou une équipe multidisciplinaire d’une maison de pluriprofessionnelle, d’un réseau de soin, d’un hôpital, d’un établissement médico-social, d’un établissement médicoéducatif, d’un établissement pour personnes âgées, d’une résidence, d’un centre de, d’un service de médecine du travail, d’un établissement scolaire/universitaire, d’un service de soin palliatif (...) choisit une ou plusieurs à intégrer dans le parcours individualisé de d’une personne, qu’elle soit en perte d’autonomie (ex. : personne fragile âgée de plus de 90 ans), exposée à un risque majoré de maladie (ex : tabagisme d’un salarié), en situation de handicap (ex : perte d’autonomie due à un paraplégie) ou malade (ex : maladie neuro-évolutive par exemple). Les problèmes de étant aujourd’hui plurifactoriels et complexes, les solutions trouvées pour améliorer la de chaque personne sont multiples et fonction de la disponibilité locale. Plusieurs peuvent être proposées en, soin et soutien par un médecin, tout autre professionnel de autorisé (ex : pharmacien, infirmier, sage-femme, kinésithérapeute) ou une équipe. Elles sont cataloguées dans une plateforme numérique centralisée, le. Elles complètent les autres solutions de proposées à un moment du parcours de vie d’une personne ,, hospitalisation, aide sociale). Elles évoluent avec le temps en fonction de l’état de de la personne, de sa fragilité et de sa demande (Figure 4).
Pourquoi ne pas avoir imposé l’essai randomisé en triple comme dans le ?
Ce critère a été établi pour la validation scientifique des. Penser qu’une psychothérapie dirigée par un psychologue ou un régime encadré par un diététicien peut être caché à un participant d’étude est impossible. Tout a été fait pour établir le meilleur lien de entre la proposition d’une pratique et ses effets sur la en tenant compte de la spécificité des sans dévoyer les attendus de rigueur et d’éthique de la recherche dans le domaine de la. Nos recommandations limitent au maximum les et favorisent la validité et la reproductibilité. Cela n’empêchera jamais certains individus ou de frauder. Compte tenu des risques moindres pour la des par rapport produits de à action rapide (chirurgie, à action rapide, implantable) et de leur intérêt potentiel dans la, l’essai pragmatique en vie réelle ou d en anglais répondait le mieux à la prise en compte des risques. Par contre, l’évaluation d’une a justifié la réalisation d’une étude implémentation dans le pays donné afin de ne pas extrapoler des résultats d’un contexte culturel à un autre.
Pourquoi avoir choisi le terme professionnel et non praticien dans la définition des ?
En France, le terme professionnel est plus large que le terme français praticien limité aux 24 professionnels de définis dans le Code de la Publique (CSP). Un psychologue clinicien et un enseignant en activité physique adaptée (APA), par exemple, sont des professionnels qui œuvrent pour la des personnes en proposant des à visée préventive ou thérapeutique mais ne font pas partie des « professionnels de » au sens strict du CSP français. Certains métiers relèvent du Code de l’Action Sociale et des Familles (par ex., éducateur spécialisé) ou du Code du Sport. En Europe et dans le monde, la question devient plus complexe car tous les métiers liés à la n’ont pas la même appellation, par exemple « masseur-kinésithérapeute » en France et « physiothérapeute » dans la plupart des pays du monde. Les peuvent être des dénominateurs communs entre pays, car elles auront un code et une fiche de spécification uniques.
Quelles sont les spécifications d’une ?
Chaque du a été soumise par un praticien ou un chercheur sur la plateforme dédiée hébergée par la NPIS. Chaque fiche a été expertisée par un comité scientifique indépendant et intègre. Il invite les sociétés savantes compétentes et les autorités de à valider les fiches et/ou à contrôler les décisions prises. Chaque fiche validée est relue par un comité d’usagers et professionnels. Une fois labélisée NPIS©, la fiche est traduite au moins en anglais et en français et intégrée dans le. La fiche dispose d’un contenu standardisé argumenté par des études scientifiques conformes à la définition des de la NPIS, aux spécifications attendues (Tableau 2) et au cadre consensuel d’évaluation des, le. Elle contient un mode d’emploi pour le professionnel, une notice d’information pour l’usager, un espace d’indices notamment de prise en charge financière et une zone de retour anonymisé d’expérience. La fiche est ainsi évolutive. Elle s’inscrit dans un cercle vertueux d’amélioration continue de l.

Un minimum de 1, 1, 2 et 1 publiées dans une revue à comité de lecture est attendue pour qu’une proposition d soit recevable par le comité d’experts chargé par la NPIS de la validation d’une et de la labélisation NPIS©. Précisément, les experts doivent disposer de données probantes pour voter de manière anonyme sur chacun des critères de la proposée à la NPIS par un soumissionnaire :
  • Décrite (≥ 1),
  • Explicable (≥ 1),
  • Efficace (≥ 2),
  • Sûre (≥ 2),
  • Implémentable (≥ 1 dans le pays).

Un professionnel doit connaître toutes les spécificités de l, quels sont les critères justifiant son utilisation, comment mettre à œuvre son protocole, à qui s’adresser, quelles sont les astuces, quel est le matériel requis, quelles sont les formations préalables exigées. 
 
Le impose-t-il le choix et la mise en œuvre d’une ?
Le choix et la mise en œuvre d’une à un moment du parcours de et de soin d’une personne ne dépend pas du, encore moins de la vocation de la NPIS. Ces décisions dépendent des situations individuelles de, des préférences, des disponibilités des professionnels, des qualifications des praticiens, de l’accessibilité sur un territoire et des contextes socio-culturels. L’art de la combinaison des entre-elles et avec d’autres solutions de, au bon moment relève des professionnels, de systèmes experts, d’organisations pluriprofessionnelles et du système de en vigueur dans un pays donné. Le met en lumière des pratiques essentielles qui ont fait leur preuve et qui progressent continuellement par la recherche et l’analyse des retours d’expériences. La NPIS n’a aucune prérogative à imposer un choix d. Chaque professionnel est libre de les suivre, d’en suivre d’autres, ou d’en créer. Idem pour chaque organisation de.
La NPIS est-elle en train de créer une nouvelle chaine de valeurs ?
Des pratiques immatérielles de et de soin existent depuis la nuit des temps. Simplement, la diversification des pratiques, la multiplication des métiers au croisement entre, soin et aide sociale, et la mondialisation des systèmes d’information ont nivelé ces services et les ont rendus obscurs au moment où la médecine a fait des progrès considérables dans la détection et le diagnostic précoces des problèmes de. La démarche interdisciplinaire et multisectorielle de la NPIS génère une chaîne de valeurs, de la conception des pratiques à leur mise en œuvre, en passant par leur réglementation et leur financement. Des initiatives particulièrement innovantes de modèles économiques se lancent partout dans le monde, paiement à l’acte, paiement au forfait, prestation de l’économie sociale et solidaire, offre favorisant le développement durable, économie e, forfait innovation humaine, économie de long terme (World Economic Forum, 2024). Le Pôle prospective de la NPIS sous la direction de Michel Noguès retranscrit dans des livres ces initiatives à travers le monde (Noguès, 2022 ; Noguès, 2024). Les NPIS Forum invitent tous ceux et toutes celles qui innovent à partager leur expérience.
Une alliance mondiale en faveur des est-elle possible ?

Une alliance sur les est indispensable aujourd’hui face aux propositions en silo de disciplines (biologie, psychologie, publique…), de métiers (médical, paramédical, éducatif, social…), de secteurs , soin, aide à l’autonomie, social, éducation, fin de vie, handicap…), de courants (médecines traditionnelles ou scientifiques…) à l’échelle nationale comme supranationale. La NPIS rapproche ces acteurs éparpillés et parfois divisés pour développer une meilleure compréhension, une meilleure pratique et une meilleure reconnaissance des. La société savante contribue au développement d’un écosystème souvent laissé pour compte. Elle mobilise des centaines de professionnels et d’usagers à travers le monde pour réduire le fardeau des problèmes de publique du 21ième siècle connus de toutes et tous. Elle pointe les essentielles et leurs bonnes pratiques à adresser aux bonnes personnes au bon moment de leur parcours sans critiquer d’autres solutions de. Concrètement, La NPIS permet :

  • aux acteurs de la recherche de développer, d’évaluer et de valoriser des,
  • aux professionnels du soin, de la et de l’accompagnement social de renforcer leurs compétences et de disposer de recommandations de bonnes pratiques et d’outils de mise en œuvre des,
  • aux de de choisir, d’organiser, de tracer, de consolider, de sécuriser et de pérenniser les investissements dans les
  • aux agences nationales et supranationales de d’améliorer leur connaissance pour concevoir des stratégies efficientes en matière d
  • aux gouvernements, aux organisations non gouvernementales, aux associations d’usagers et aux fédérations d’acteurs de la de disposer d’un langage commun sur un périmètre délimité afin d’élaborer des politiques justes, équitables et durables.


La NPIS après avoir établi un modèle standardisé d’évaluation contribue à une alliance interprofessionnelle, intersectorielle et trans-partisane en faveur des. A travers un sommet mondial annuel, elle réunit tous les acteurs de l’écosystème la troisième semaine d’octobre, le NPIS Summit. Cet évènement d’envergure discute de la structuration économique et réglementaire de l’écosystème avec toutes les parties prenantes. L’édition 2024 a été organisée dans un lieu hautement symbolique, la Cité Universitaire de Paris, place humaniste par excellence, ouverte au monde, à la science et à la paix, créée entre les deux guerres mondiales au siècle dernier. Chacun peut participer et contribuer à cette dynamique internationale fondée dans l’unique but de légitimer les dans les offres des systèmes de sans dénigrer les autres solutions. Cette coalition s’appelle la NPIS Alliance.

Qu’est-ce qu’une ?
Avant d’évaluer une, il faut la décrire. Parfois, des pratiques de peuvent être une combinaison de méthodes de diagnostic et de traitements, par exemple en ostéopathie. Une ne vise pas à identifier un problème de ou le diagnostiquer, elle est une solution à visée préventive ou thérapeutique pour le résoudre, parfois en association avec d’autres traitements. Une autre confusion courante est la distinction entre une et une approche ou une technique. Une approche est trop vague, elle ne décrit en rien précisément le contenu de l. Une technique est par contre trop précise, elle n’est qu’un ingrédient d’une. Une permet de décrire toutes les caractéristiques d’une, son objectif pour la, sa population cible, ses mécanismes d’action, son contenu, son contexte de mise en œuvre et les prérequis du professionnel.
Les sont-elles de simples recettes à appliquer ?
Les sont des protocoles à mettre en œuvre auprès d’une population cible, mais elles ne sont que des cahiers des charges. Elles doivent être contextualisées et personnalisées. Le propose des bonnes pratiques et des astuces pour les mettre en œuvre de manière optimale. Par ailleurs, la NPIS recommande une formation pluriprofessionnelle d’éthique en pour les mettre en œuvre. La société savante œuvre avec ses partenaires à l’élaboration et la reconnaissance de cette formation socle qui pourrait être réalisée en particulier dans des établissements de l’enseignement supérieur en collaboration avec le Ministère de la. Cette formation éthique comprend tous les prérequis de savoir, savoir-faire et savoir-être nécessaire à l’exercice interprofessionnel dans la. Des professions de rompues à l’exercice comme les médecins par exemple auront des équivalences.
Qu’est-ce qu’une donnée probante pour une ?
Une donnée probante est une connaissance théorique ou pratique acquise par une méthode et un raisonnement scientifique rigoureux et intègre. Le suit cette logique dans le domaine de la (voir Figure 3). Il donne des recommandations méthodologiques et éthiques spécifiques aux pour des études s’intéressant à leur mécanismes et processus explicatifs ), à leur contenu ), à leur évolution dans le temps ), à leurs bénéfices et risques (étude interventionnelle) et à leurs modalités d’application et de personnalisation ).
Pourquoi le terme d est-il si méconnu ?
Le terme est utilisé par les scientifiques travaillant dans le domaine de la depuis 1975. Mais, il n’est pas le seul. D’autres termes similaires sont utilisés comme synonymes notamment dans Pubmed, 10 en anglais pour qualifier le processus non médicamenteux (voir colonne 1, tableau 1) et 28 en anglais pour qualifier le mode opératoire (voir colonne 2, tableau 1). L’inventaire exhaustif des sur un moteur de recherche d’articles scientifiques est impossible à ce jour, tellement les chercheurs et les chercheuses utilisent des mots variés à la signification distincte : rehabilitation, psychosocial, psychosocial, mental, cognitive, psychological, behavioral, psychosomatic, nutrition, nutritional, diet, food, physical, body, exercise, manual, rehabilitation, salutogenic, natural, self-help, nursing, therapy, care, disease management, multimodal...

Une requête sur Pubmed du 15 août 2024 indique 55 689 articles citant le terme "non médicamenteux" ou équivalent jusqu'en 2023 (Figure 7). Si ces chiffres ne remettent pas en question la tendance, ils sont sous-estimés à cause d’une base de données centrée sur des produits de plus que des services, les traitements biologiques plus que psychosociaux, les études sur des populations nord-américaines et les revues éditées par les organismes nord-américains. Cette logique répond à un site officiel du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique géré par le Centre National d’information Biotechnologique et est hébergé par la Bibliothèque Nationale de Médecine appartenant aux National Institutes of Health (NIH). 

Une requête sur Pubmed du 15 août 2024 indique 11 642 articles citant le terme " ou équivalent jusqu'en 2023 (Figure 8). Les deux courbes témoignent d’une augmentation depuis 2000, et d’une nette accélération depuis 2010.

La française encourage l’utilisation du terme dans la depuis 2011.
Pourquoi avoir choisi l’appellation, terme négatif semblant s’opposer au ?

Le terme ) n’a pas été choisi par la société savante NPIS mais s’impose. Il est utilisé par les scientifiques depuis 1975 (Figure 8). Des autorités et des agences l’emploient, l’Organisation de la depuis 2003, la depuis 2011, la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie depuis 2014, le Ministère de la depuis 2018, le Haut Conseil de la Publique depuis 2019, le Centre Européen de et de Contrôle des Maladies depuis 2020, l’Inspection Générale des Affaires Sociales depuis 2022, le Conseil Économique, Social et Environnemental depuis 2023, l’Assurance Maladie depuis 2024. De nombreuses sociétés savantes nationales et supranationales utilisent le terme dans leurs recommandations. Ces solutions de sont « engoncées » entre les produits de et les mesures de publique malgré les efforts de professionnels pour les faire connaître et reconnaître (Figure 1). Elles constituent un domaine sous-estimé de services immatériels situés entre les biens (ex.,,) et les recommandations générales de publique (ex : règles diététiques, mesures d’hygiène, actions environnementales). Elles peuvent être noyées dans des compilations de solutions de mélangeant des actions de et des programmes ciblés ou confondant des méthodes d’identification d’un problème de et des méthodes de résolution d’un problème de (voir encadré 1). L’enjeu est une meilleure traçabilité des pratiques pour une amélioration continue de leur qualité, de leur sécurité, de leur implémentation et de la formation. Ces pratiques peuvent être facilement partagées d’un pays à l’autre. Le terme ne signifie pas « anti » ou « médecine alternative » (médecine parallèle). Il s’inspire de la rigueur du processus standardisé au niveau mondial de validation du pour établir les bonnes pratiques scientifiques et cliniques. A terme, nous pensons que l’abréviation prendra le pas sur son intitulé complet comme OMS, IBM, SEAT et tant d’autres.

Des registres de pratiques non médicamenteuses aux critères et aux contours imprécis.
Des catalogues compilent toute sorte de pratiques de parmi lesquels les semblent noyées. Certaines s’adressent à la population générale, certaines sont ciblées. Les critères de sélection sont hétérogènes. Les objectifs diffèrent. Les modalités pratiques diffèrent. Trois exemples parmi tant d’autres, deux aux Etats-Unis EBCCP ou Mindtools, et un en France (Capitalisation Santé).
 

Pourquoi établir un modèle unique d’évaluation des ?
Un modèle de validation scientifique des existe depuis les années 1960 et dispose d’une réglementation spécifique reconnue dans le monde entier (ex.,, EMA, ANSM). Une procédure similaire existe depuis peu pour les dispositifs médicaux en Europe. En revanche, aucun modèle consensuel n’existait pour les services nutritionnels, corporels et psychosociaux de à cause notamment de confusions entre approche, protocole et technique/ingrédient. Un travail participatif, pragmatique et multidisciplinaire de consensus a suivi les recommandations scientifiques internationales en à cette fin pour les (Ninot et al., 2023). Il a tenu compte des spécificités des, des risques pour la, de l’équilibre entre validité interne et externe, de la justification de mécanismes explicatifs et d’éthique en et du respect des contextes d’utilisation. Le accélère la recherche par une harmonisation des attendus méthodologiques et éthiques dans les. Il accélère aussi l’identification, le référencement, la et la mise en œuvre des au profit de la et de la sécurité des usagers. Il améliore la qualité des formations. En définitive, le permet de distinguer les services individualisés fondés sur la science visant à traiter un problème de connu de la médecine occidentale des pratiques occupationnelles (mode de vie, art de vivre, travail, activité socioculturelle, développement personnel, recherche du bonheur, pratique spirituelle...). En ce sens, le modèle n’entrave pas la liberté des personnes à choisir un mode de vie particulier. Il vise à agir à un moment donné sur un problème de d’une personne ou d’un groupe de personnes dans un temps limité et un cadre réglementé par le secteur de la. Le encourage les innovations dans tous les autres secteurs de la, et notamment dans le domaine des organisations de et dans les actions de repérage précoces des problèmes de.
Toutes les pratiques de bien-être sont-elles des ?

Bouger, manger, boire, dormir, parler, lire, écrire, peindre, écouter de la musique, regarder un film, danser, rire, marcher, chanter, méditer, jardiner, fréquenter des amis (...) sont des activités de la vie quotidienne, certaines pouvant générer de la joie, du plaisir, de l’épanouissement, du bien-être... Libre à chacun dans un pays démocratique de les interpréter et les vivre à sa manière. On parle de philosophie de vie, de mode de vie, d’art de vivre, de développement personnel. Autrement dit, une activité de la vie quotidienne n’est pas une, même si elle peut contribuer aléatoirement et ponctuellement à la de certaines personnes. Activité occupationnelle ou traitement d’un problème de identifié par la médecine diffèrent.

Les produits suivants ne sont pas des :

  • Produit d’hygiène et de beauté (shampoing, dentifrice, brosse, crème pour le corps…),
  • Produit naturel (plante, aliment, champignon, huile essentielle…),
  • , matériel biologique implantable, complément alimentaire…),
  • (organe artificiel, prothèse, orthèse, application digitale, système de monitoring…).


Les biens et services suivants ne sont pas des :

  • Produit ou service culturel (jeu vidéo, livre, podcast, pratique artistique, visite de musée, théâtre, écriture…),
  • Produit ou service de consommation courante (coiffure, soin esthétique, restauration…).


Les actions suivantes ne sont pas des :

  • Action de publique (campagne de communication, vidéo, affiche, livret, site, post…),
  • Aménagement architectural (création d’une rampe d’accès…),
  • Aménagement environnemental (reboisement d’un parc, création d’un atelier sportif…).


Les approches suivantes ne sont pas des :

  • Discipline professionnelle (kinésithérapie, psychologie, diététique, publique…),
  • Approche éducative (développement personnel…),
  • Pratique ésotérique (pratique spirituelle, culte religieux, art divinatoire, sorcellerie…).


Les organisations suivantes ne sont pas des :

  • Organisation de (réseau, plateforme, cabinet, maison de, établissement de…),
  • Dispositif de (plateforme numérique…).


Les mesures suivantes ne sont pas des :

  • Politique de (stratégie, plan, programme…),
  • Réglementation (arrêt, décret, loi…),
  • Décision de justice (mise en garde, condamnation…).
Pouvez-vous donner quelques exemples d ?

A DOMINANTE PSYCHOSOCIALE

Des psychothérapies

  • Thérapie par stimulation cognitive pour les stratégies de mémorisation dans la maladie d’Alzheimer en 14 séances par un psychologue dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Programme de Mindfulness Based Stress Reduction (MBSR-BC) contre l’anxiété durant les traitements du cancer en 8 séances de groupe par un psychologue clinicien, un psychiatre ou un médecin dans un service d’oncologie, une association de patients, un cabinet, une maison de ou un établissement de.
  • Thérapie Acceptance and Commitment Therapy contre la douleur chronique en 9 séances de groupe par un psychologue clinicien ou un psychiatre dans un établissement de, une maison de ou un cabinet
  • Thérapie Cognitivo-Comportementale contre l’insomnie (TTC-I) en 6-8 séances individuelles distancielles ou présentielles par un neuropsychologue, un psychologue clinicien, un psychiatre ou un neurologue dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Programme Now I Can Do Heights utilisant un programme utilisant un casque de réalité virtuelle contre l’acrophobie (peur du vide) par un psychologue clinicien ou un psychiatre dans un cabinet ou une maison de.


Des programmes de 

  • Programme d’éducation thérapeutique du patient Living well with COPD contre les symptômes et les exacerbations de la BPCO en 2 mois et 4 sessions en présentiel ou distanciel par un infirmier, un médecin ou un pharmacien dans un établissement de, une maison de ou un cabinet
  • Méthode CHESS (Chronic Headache Education and Self-management) d’autogestion des migraines par un infirmier ou un médecin dans un établissement de, une maison de ou un cabinet. 
  • Programme MyFriend Youth en des troubles de l’anxiété et de la dépression chez les élèves de 12 à 15 ans, 10 séances, psychologue scolaire ou infirmier scolaire, établissement scolaire
  • Méthode d’hypnothérapie Spiegel spécialisée dans l’arrêt du tabac en 3 séances par un psychologue, un infirmier, un médecin ou un hypnothérapeute dans un cabinet, un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Thérapie cognitivo-comportementale contre la dépression (TCC-d) par un psychologue clinicien ou un psychiatre dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.



A DOMINANTE CORPORELLE

Protocoles de physiothérapie

  • Méthode McKenzie contre le mal de dos par un kinésithérapeute dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Programme d’entraînement des muscles du plancher pelvien (PFMT) par une sage-femme ou un kinésithérapeute dans une maison de ou un cabinet.
  • Programme de rééducation suite à la pose d’une prothèse de hanche en 6 à 10 séances par un kinésithérapeute dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.


Programmes d’activités physiques adaptées

  • Programme Dance therapy for Parkinson Disease contre les symptômes psychologiques de la maladie de Parkinson par un enseignant en APA dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Programme de réentraînement à l’effort au seuil ventilatoire contre la dyspnée provoquée par la BPCO par un enseignant en APA ou un kinésithérapeute dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
  • Programme d’APA anti-fatigue durant les traitements d’un cancer du sein, de la prostate ou du colon par un enseignant en APA dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.


Cures thermales 

  • Cure thermale spécialisée contre la gonarthrose par un kinésithérapeute ou un agent thermal dans un établissement thermal.


A DOMINANTE NUTRITIONNELLE

  • Régime sans gluten contre la maladie cœliaque par un diététicien dans un établissement de, une maison de ou un cabinet. 
  • Régime FODMAP contre les troubles gastro-intestinaux par un diététicien dans un établissement de, une maison de ou un cabinet.
     
Quelle est la feuille de route de la NPIS jusqu’en 2030 ?
La NPIS a dessiné une feuille de route de 2021 à 2030 alignée sur les stratégies des institutions européennes et internationales chargées de la (Figure 10). A ce titre, elle a entamé des discussions avec l’Association Européenne de Publique (EUPHA) impliquée dans l’innovation dans les services de, le Centre Européen de et de Contrôle des Maladies projetant de créer un registre (ECDC, 2023), la Commission Européenne souhaitant promouvoir les « supports de, de nutrition, de mentale et psychosociaux aux communautés » (Commission Européenne, 2022) et l’OMS Europe déclarant vouloir identifier les « de les plus efficaces » d’ici 2030 (OMS Europe, 2021). Elle a déposé plusieurs projets européens en 2024. La NPIS échange également avec l’OMS prônant les « d’auto-prise en charge » depuis 2022 (OMS, 2022), les dans son Plan d'action global pour la mentale publié en 2022 (OMS, 2022), « les les plus efficaces et les plus réalisables dans un contexte national » dans un rapport publié en 2021 (OMS, 2021) et les actions de diminuant les risques environnementaux à travers un compendium (OMS, 2024). La NPIS échange enfin avec d’autres instances internationales comme l’UNESCO prônant les « spécifiques d’éducation pour la et le bien-être » depuis 2016 (UNESCO, 2016), l’UNICEF prônant le partage des « efficaces » en depuis 2016 et le développement des « soins de primaires » depuis 2018, l’ONU prônant « l’accélération des services de essentiels » depuis 2023 (ONU, 2023) et la Coalition of Partnerships for Universal Health Coverage and Global Health prônant les « services population-centrée, compréhensifs et intégrés » depuis 2021. Ainsi, un écosystème des, de la recherche à la pratique en passant par la formation et la délivrance, est en construction. La NPIS y participe. Elle implique tous les acteurs, académiques et non académiques, pour créer une véritable chaîne de valeurs au bénéfice de la médecine personnalisée et de précision fondée sur la science, de la durable et de la longévité équitable. Avec plus de 2,1 milliards de personne âgées de plus de 60 ans en 2050, les collaborations multipartites seront les fondements d’une économie de la longévité durable et équitable (World Economic Forum, 2024). C’est la raison pour laquelle des forums sur les sont organisés depuis 2024 en France et en Europe, appelés NPIS Forum. Un sommet international intitulé, NPIS Summit, se tient chaque année en octobre. Des évènements régionaux appelés NPIS Satellite rassemblent des professionnels et des usagers sur un thème de.
Pourquoi attribuer un code unique à chaque listée dans le Référentiel ?
L’interopérabilité entre les systèmes d’information des de et des financeurs est la condition cardinale de l’efficience des. L’attribution d’un code unique à une améliore l’information, la prise de décision, la qualité de la mise en œuvre, la traçabilité, la monétisation et les analyses d’impact. Une devient ainsi un acte identifié dans une nomenclature institutionnelle. Les caractéristiques d’une sont décrites et justifiées par des études publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture respectant les attendus de la recherche internationale en. Elles doivent être conformes au. Les pratiques innovantes deviennent par un processus de normalisation et d’expertise indépendante, des labélisées NPIS©. Elles peuvent être intégrées dans les parcours personnalisés de par un professionnel, une équipe pluridisciplinaire, un centre de, un établissement de soin, une structure médico-sociale, un réseau de, une plateforme digitale ou tout autre organisation habilitée à délivrer des solutions de. Avec une codification unique pour chaque et interopérable avec les nomenclatures assurancielles/métiers, les autorités d’un pays et les systèmes assurantiels peuvent mettre en œuvre des procédures de contrôle et de rétrocontrôle d’usage des selon leur niveau de gestion du risque (Figure 9). Les données provenant des usages et des expériences des utilisateurs, des professionnels, des de et des institutions nourrissent de nouvelles questions de recherche. La recherche permet des innovations par exemple en isolant des plus spécifiques, plus efficaces, plus implémentables et plus efficientes au sein de plateformes et d’organisations territoriales.
Le est-il un outil de lutte contre la désinformation dans le domaine de la ?

En effet, le contribue au développement de la médecine de précision. Prenons un exemple. Comment faire progresser cette médecine dans le traitement non pharmacologique de la douleur et ne pas désarçonner les patients quand une faculté de médecine aussi reconnue que Stanford publie sur son site Internet cette liste si floue, incomplète et non hiérarchisée ?

  • Activité physique
  • Acupression
  • Acupuncture
  • Application de chaleur ou de froid
  • Aquathérapie
  • Art thérapie
  • Biofeeback
  • Coaching familial
  • Coaching individuel
  • Conditionnement psychologique
  • Désensibilisation
  • Éducation thérapeutique
  • Ergothérapie
  • Hortithérapie
  • Hypnose
  • Kinésithérapie
  • Lotions de massage
  • Méditation
  • Musico-thérapie
  • Posturologie
  • Présence d'un compagnon
  • Soutien psychosocial
  • Stimulation nerveuse électrique transcutanée (TENS)
  • Thérapie de confort
  • Thérapie par le théâtre
  • Thérapie psychosociale
  • Tonification et renforcement
  • Yoga


Combien d'espoir déchu ? Combien de temps perdu ? Combien d'effort vain ? Combien d'argent dilapidé ? Combien de transport carboné inutile ? En tout cas, c’est une subtile manière de mettre en relief les traitements médicamenteux et les chirurgies anti-douleur aux contenus précis et aux effets probants. La NPIS et ses partenaires proposent une solution permettant de sortir de cette impasse en faveur avant tout des personnes affectées par un problème de. Il s’agit de donner une information fiable sur les les plus pertinentes. Il s’agit aussi de ne plus opposer thérapie médicamenteuse et non médicamenteuse, mais de les associer à bon escient et au bon moment.
 

Pourquoi une société savante internationale des ?
Les sont un domaine dans lequel circulent de nombreux amalgames entre connaissance scientifique et opinion du fait de leur objectif, la humaine, et du fait de leur mode opératoire, des protocoles immatériels. Il faut pourtant apprendre à distinguer la science de la recherche devant la démultiplication des outils et des vecteurs d’information (Klein, 2020), en particulier sur le sujet des. Les mêmes canaux de communication véhiculent des connaissances scientifiques et des croyances, opinions, commentaires... Des informations aux statuts différents se contaminent. Une connaissance peut devenir la croyance d’une communauté particulière, et vice-versa.

La science correspond à des connaissances établies, un corpus de connaissances sur des questions bien posées et précises. Ces connaissances jusqu’à preuve du contraire n’ont pas à être remises en cause. Un chercheur ne se repose pas la question de la forme de la Terre. C’est acquis, elle est ronde. La question est tranchée. La science approche de la vérité. Les sociétés savantes jouent un rôle majeur dans l’établissement de ces consensus scientifiques de qui est connu et reste à connaître.

La recherche correspond à des questions dont nous ne connaissons pas les réponses. Ces questions bien posées n’ont pas encore de réponse. Un chercheur travaille sur le sujet par différentes méthodes et stratégies. La recherche cultive le doute. Les sociétés savantes œuvrent au développement de la recherche sur un territoire et un thème précis.

Compte tenu que les sont des protocoles universels de centrés sur la personne et administrés par des humains, une société savante multidisciplinaire internationale devait être créée, c’est chose faite depuis 2021. Cette société s’intitule la Non-Pharmacological Society (NPIS).
Pourquoi exiger la réalisation d’une dans les ?
Si un essai clinique démontre l d’une dans un pays, cela ne dit pas que le protocole de ou de soin est aussi pertinent, faisable et/ou acceptable dans un autre. Aussi, le recommande de mener une afin d’identifier les conditions de mise en œuvre de l sur un territoire de ou un pays donné (bonnes pratiques respectant la culture, les habitudes, les coutumes et les préférences individuelles).